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Chronique de la chanson française épisode 15, un mois de mai très marqué par les années 80s

15ème épisode de la chanson française, un mois de mai exceptionnel !
Malgré les ponts, on a réussi à écouter pratiquement tous les morceaux que vous nous avez envoyé.
Beaucoup de qualité et d’originalité, prouvant une fois de plus que les créateurs indépendants débordent de talent.
On est heureux de leur servir de tremplin, et de relayer leurs créations.
Ce mois-ci, encore de belles découvertes, et c’est sûr, il y en aura pour tous les goûts (enfin presque, faut pas pousser quand même…), même si on note majoritairement une influence de 80s.

A écouter sur nos playlists !

Axel de Bury : “Dimanche soir”

Axel de Bury est un auteur-compositeur-chanteur franco-américain folk-pop-rock.
Entre Brassens et Renaud, avec sa guitare acoustique, il dépeint parfaitement le tableau d’un dimanche soir empli de mélancolie.
Axel nous offre ici une magnifique ballade accompagnée d’une vidéo qui nous promène dans Paris. Bon dimanche…

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Nadamas : “Tête en l’air”

Nadamas se démarque par une énergie hors du commun et par cette manière bien particulière de présenter une musique originale qui puise autant dans le musette que dans le ragga, ska ou même klezmer.
Avec beaucoup d’humour et de dérision, les six compères du groupe originaire de la Franche-Comté se partagent les notes dans une convivialité spontanée pour raconter tout en simplicité des morceaux de vie et autres histoires du quotidien.
« Tête en l’air » est une chanson festive, populaire et colorée. L’envie de danse, de légèreté aux beaux jours du printemps.

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Sans Préstention : “Si Seulement Si“

Tous de la région des pays de la Loire, ces 6 musiciens amateurs nous donnent une leçon de bonne humeur.
L’esprit de famille, c’est pour cette raison que chaque membre du groupe Sans Prétention a invité ses enfants
dans le clip de ce titre au son Pop Rock, au son festif et joyeux.
Un texte sur la place de chacun dans la société, et savoir trouver le bonheur là où il est…
Pour un groupe qui se réclame « amateur », c’est super !

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Karkwa : “Parfaite à l’écran”

De retour après 13 ans d’absence, les canadiens du groupe Karkwa (on dirait pas plutôt car quoi ? à moins que cela vienne de l’iroquois…) nous offre « Parfaite à l’écran » une ballade rock digne des textes que les plus grands canadiens nous ont ramené dans l’hexagone, de Robert Charlebois à Malajube, en passant par Cœur de Pirate ou Vilain Pingouin…
Ils nous promettent un album pour l’automne, on a hâte !

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La Corde Raide : “Cilaos”

Groupe de chanson française festive et épicée aux origines métissées, entre le Nord de la France, la Réunion et la Drôme-Ardèche, La Corde Raide mixe la chanson à texte et les musiques du monde dans une délicate explosion de saveurs !
D’une plume réaliste et poétique, La Corde Raide met en chansons ses introspections perpétuelles, son désir enivrant de voyage et d’exotisme, son questionnement chronique sur notre drôle de monde, la place qu’on y cherche, qu’on y trouve parfois.
Avec une ligne mélodique en hommage à « Caloubadia » d’Alain Peters, Cilaos est un titre-hommage à l’intense île de la Réunion.
C’est le premier extrait de « Sakinouli », leur prochain album, on a hâte !

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Fabien Cecchini : “Eclaire-moi”

Fabien CECCHINI est un acteur, comédien et chanteur français originaire de la région bordelaise.
Avec « Éclaire-moi », il nous propose un titre Pop-Rock à la mélodie léchée, portée par des sonorités aux douces influences 80s.
Il y chante la séparation amoureuse, le manque de la femme qu’il aime, mais plus encore que la séparation, point commun de bon nombre de ses chansons, c’est surtout l’indifférence qu’il met en avant.
Une indifférence qui, lors d’une séparation, peut être bien plus ravageuse que les conflits.

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Yann Siglell : “Dans Babylone”

Auteur, guitariste et interprète, Yann Siglell, connu 10 ans plus tôt dans le groupe Merci Marlène, sort « Juste Moyen », un EP 5 titres pop-rock à la française dans sa plus pure tradition dont est extrait « Dans Babylone ».
D’apparence légère, les premiers morceaux racontent des histoires d’amour que l’hypocrisie, le mensonge et les faux-semblants vouent d’emblée à l’échec.
Au fil du disque, les sonorités pétillantes s’effacent au profit d’une musique plus dépouillée et plus grave.
L’angoisse de la médiocrité, thème du disque, apparaît alors sans filtre, comme un constat désabusé au bord du vide.

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Sépiah : “Marqué au fer”

Développant un projet expérimental et authentique, Sépiah délivre un point de vue singulier sur le passage à l’âge adulte, évoquant l’attrait du mystère, la peur des choix, et l’envie de trouver une place quelque part, et mêlant influences britanniques (de alt-J à Gorillaz) à un texte direct, cérébral et nostalgique en français.
Direct, poétique, décalé, il vous envoie des mélodies fortes d’influences indie-pop, et annonce la sortie de son premier EP courant Juin. A suivre !

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MadChat : “Vivre en Paix”

Le duo tarnais MadChat, c’est l’histoire de Valérie et de Sylvain.
A la ville comme à la scène, ils forment un couple complice et chaleureux.
Leur aventure musicale a débuté il y a quatre ans. C’est à cette période que leur fils, atteint de troubles autistiques, leur a inspiré l’écriture de leur premier titre « Dans ta Bulle » qui est également le titre de leur premier album.
Un son pop-folk-rock, accompagné de paroles sensibles, tournées vers les autres, et délibérément engagées, et surtout accessibles aux plus jeunes.

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Sara Saphir : “Preuves d’amour”

Originaire de Bourgogne, Sara Saphir nous offre une pop enfantine décomplexée, un discours pour les jeunes tiktokiens d’aujourd’hui, avec une voix digne d’Hélène et les garçons, et un texte édulcoré mélangeant un romantisme tiré des années 80s à un puritanisme tout à fait actuel.
Entre rebelle sage avec des rêves de princesse, et provocatrice auto-contrôlée, Sara offre une rétro-modernité à la culture actuelle… enfin une contre-culture ?

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Lizzy Ling : “Tokyo Remix version”

« Tokyo » est un titre extrait du 1er album solo de Lizzy Ling, « Un Tigre Dans Le Bungalow », remixé en souvenir de ses années passées au Japon.
Cette chanson groovy vous embarquera de Paris à Tokyo, de Kyoto à Paris.
Elle est accompagné d’un clip d’animation où les scènes défilent, glissent d’un continent à l’autre, comme un ruban qui se déroule à l’infini, façon presque manga, presque carte postale.

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Léo Braunstein : “Démocratie”

Léo Braunstein est né le 11 mars 1996, et a grandi en banlieue parisienne, mais c’est à travers de nombreux voyage, notamment en Espagne ou au Mexique, qu’il a affiné son style.
Fort de ces expériences multiples, Léo propose aujourd’hui une musique et un univers festifs, nourris d’humanité et de joie, éminemment politique.
Devenu un « chanteur – raconteur », il envoûte son public avec un univers teinté de de pop, de musiques latines, de jazz ou même de rock !

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Ursa Mnr : “J’ai Oublié”

Le trio français Ursa MNR (prononcez Ursa Minor), offre une musique à mi-chemin entre la synth-pop élégante et l’électro galactique.
Baptisés en référence à la constellation de la Petite Ourse, leurs arrangements subtils et leur univers à part sonnent comme une invitation au voyage au-delà de la stratosphère.
Avec une esthétique rétro, « J’ai oublié » nous envoie dans l’imaginaire d’une jeune femme qui a trop longtemps oublié de penser à elle et se laisse enfin aller à rêver.

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Jesse Murray : “Madame de Villedieu”

Jesse Murray est le fils d’un cinéaste, multi-instrumentiste et menuisier qui lui a transmis son talent artistique.
Originaire de Gaspésie, au Québec, et vivant maintenant à Calgary, c’est cette double influence linguistique qui lui a permis de sortir un premier album en anglais, et finalement, un autre en français.
Sa mélodie nous rappelle indiscutablement des chansons françaises classiques, le refrain apportant modernité à son texte nous ramenant à une époque où l’on parlait autrement des sentiments.

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Les Chevals : “Seul”

Les Chevals, c’est 4 nancéiens qui n’ont pas le goût de la concession.
Des textes dans leur langue maternelle, du rock-punk en flux tendu qui fait secouer la tête et remuer les entrailles.
Une sonorité proche des années 80s pour l’inspiration, avec beaucoup de modernité.
« Seul » déborde d’énergie, et brille surtout par sa musicalité.

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