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Native Harrow

Titre du jour – Native Harrow – Divided Kind

Aujourd’hui, nous avons sélectionné pour vous un titre du groupe nord-américain Native Harrow, « Divided Kind », sorti le 13 octobre 2024.

Composé la chanteuse Devin Tuel et du multi-instrumentiste Stephen Harms, le duo Native Harrow, originaire de Philadelphie, est resté largement indépendant, musicalement, professionnellement et esthétiquement, depuis ses débuts, en élaborant et en perfectionnant méticuleusement un son et un style qui se fondent dans des morceaux de folk, de soul et de rock n’ roll.

Cette musique est typiquement américaine.
Ou peut-être panaméricaine.
C’est le travail de toute une vie de deux érudits de la musique dont les parcours individuels dans les arts ont forgé une discipline artistique stricte qui contraste fortement avec le monde plus traditionnellement laxiste du rock et de la musique populaire.
Les chansons et les albums du duo ont jusqu’à présent complètement refusé toute catégorisation.
Soit ils n’ont jamais été catalogués, soit ils sont restés complètement ignorants de cette catégorisation.

Sur un catalogue de six albums, Native Harrow a produit une discographie de « disques riches et captivants » et de « classiques instantanés » tout en suivant résolument son propre code artistique, n’acceptant que l’exigence de la chanson : chaque chanson a son propre monde avec ses propres règles.

« Divided Kind » s’ouvre avec la chanson-titre ; la voix mielleuse de Devin Tuel accompagnée d’un piano teinté de gospel, s’élargissant habilement à une célébration exubérante de la libération, aidée par un chœur de voix planantes, de guitares électriques, acoustiques et à 12 cordes, d’orgue Hammond B3 de stentor, de battements de mains et de tambourins collectifs, et d’une basse et d’une batterie galvanisantes.

« Divided Kind » est une chanson introspective qui explore les thèmes de l’identité fragmentée et de la quête spirituelle.
Avec une mélodie folk-rock envoûtante, le morceau évoque la recherche de liberté et de paix intérieure.
Les paroles poétiques dépeignent un dialogue entre le narrateur et un prédicateur, symbolisant la lutte entre les doutes personnels et l’espoir de transcendance.
La répétition du refrain « High, high, that’s where you’ll be » souligne l’aspiration à s’élever au-dessus des contraintes terrestres.

A écouter sur nos playlists !

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