The Candid nous présente leur dernier single pour lequel il aura fallu attendre 8 ans, « Just Like Me »

Le groupe nord-américain The Candid nous présente son dernier titre, « Just Like Me », sorti le 19 juillet 2024.

The Candid est un groupe qui tire sa vision créative de son propre nom, en fusionnant un style narratif pragmatique que l’on retrouve plus souvent dans la musique folk avec les refrains et mélodies que l’on associe à la pop ou au rock and roll.

Originaire de Nashville, dans le Tennessee, The Candid se compose de l’auteur-compositeur-interprète Delaney Willson et du batteur Mason Edwards.
Et même s’ils admettent qu’ils ne cherchent pas à réinventer la roue musicalement, ils ne correspondent pas non plus tout à fait aux principes sur lesquels nous avons l’habitude de nous laisser porter.
Même lorsqu’ils abordent des sujets nuancés comme le syndrome de l’imposteur, l’hypocrisie et la gestion d’un nouveau mariage, The Candid entraîne le public dans des chœurs cathartiques à chanter en chœur, s’appuyant sur un large éventail d’influences allant de Pinegrove et Bon Iver à Young the Giant et The 1975.

« Just Like Me » est une chanson introspective qui explore les contradictions et les insécurités de l’artiste.
Les paroles dépeignent un personnage en conflit avec lui-même, oscillant entre désir de réussite et doutes profonds.
Le refrain évoque une façade de facilité qui cache une nervosité intérieure.
L’auteur questionne son authenticité et son besoin constant de vouloir être quelqu’un d’autre, malgré ses succès apparents.
La chanson se termine sur une note d’espoir, suggérant un cheminement vers la connaissance de soi.

Voici ce que le chanteur principal Delaney Willson a à dire à propos de « Just Like Me » :
« La première chose à savoir, c’est que ‘Just Like Me’ a pris huit ans à écrire. Oui. HUIT.
Presque immédiatement après avoir commencé ma première année d’université, le refrain de la chanson a dérivé dans mon subconscient sans effort : ‘J’ai peut-être un millier de trophées qui prennent la poussière sur mon étagère, mais n’est-ce pas dans mon genre de vouloir toujours être quelqu’un d’autre ?’
Je pense que j’étais un peu trop immature pour comprendre le poids de ces mots à l’époque, donc la chanson est restée en sommeil pendant un certain temps.
Jusqu’au jour où j’ai réalisé que c’était une chanson sur le fait de me sentir hypocrite lorsque je me suis retrouvé à imiter mes propres bêtes noires, et sur le fait d’essayer de faire comme si l’hypocrisie ne me dérangeait pas.
Je pense que nous avons capturé toutes ces émotions dans l’arrangement et je suis impatient de voir comment les gens se connectent à cette chanson qui signifie tant pour moi. »

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