L’artiste nord-américain Hayboy nous présente son dernier titre, « Kill me baby », sorti le 15 avril 2025.
Nous allons laisser Hayboy, aka Daniel Elliot Brown, se présenter lui même :
« Ayant grandi dans un famille stricte, la seule musique autorisée était chrétienne.
Une fois arrivé à l’université, les vannes ont ouvert leurs portes et j’ai plongé tête la première dans le Falsetto obsédant de Jeff Buckley, la beauté extraterrestre de Radiohead et les textures brutes de Sonic Youth et Mazzy Star.
Au fil du temps, Bob Dylan est devenu une passerelle vers la narration poétique de Leonard Cohen, Wilco, Gillian Welch et Big Thief, tandis que des voix plus récentes comme Mercredi, MJ Lenderman et Slow Pulp hantent maintenant mes listes de lecture.
Mon son est un kaléidoscope de ces influences – un petit grain rock’n roll, un murmure de twang et un cœur agité.
Chaque chanson est son propre monde, non lié par le genre mais enraciné dans l’art de la narration.
Ma musique est le son de l’expérience vécue, tournée à travers l’objectif de l’imagination et une touche de philosophie. J’ai appelé beaucoup d’endroits la maison – l’ouest de Virginie, Portland, Austin, San Francisco, Grenade, LA, Tucson – et chacun a laissé son empreinte sur la façon dont je vois le monde et fait de la musique. »
« Kill Me, Baby » est un rock indie groovy qui capture le désir de quelqu’un d’extraordinaire.
La chanson explore la fascination amoureuse sous un angle sombre et théâtral.
Sur une mélodie envoûtante, l’auteur décline les multiples facettes de sa muse, oscillant entre désir, vulnérabilité et fatalisme.
Les paroles, à la fois poétiques et désabusées, évoquent l’abandon de soi dans une relation où l’amour flirte avec la destruction.
Il ne s’agit pas de mort – il s’agit du désir de rencontrer quelqu’un de captivant, que ce soit un rebelle, un rêveur ou un mystère.
Les paroles la peignent comme un paradoxe, quelqu’un qui pourrait être n’importe qui mais toujours inoubliable.
A écouter sur nos playlists !
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