L’artiste dannois Harry Eucrow nous présente son dernier titre, « Necrophiliac Blues », sorti le 27 mars 2024.
Harry Eucrow est un musicien, poète et conteur dans la tradition du gothique sudiste et de l’Americana.
Ses compositions incluent une guitare acoustique lo-fi, une voix sombre et grave et une inspiration musicale allant du cabaret fou de Tom Waits au folk à la voix douce de Dave van Ronk, en passant par le son industriel lourd de Marilyn Manson.
Ses histoires tournent autour d’un certain mythe occidental – une grande religion américaine qui n’est pas aussi explicitement chrétienne qu’explicitement américaine.
Le monde-image de la mythologie qui est né de la frontière sauvage et a fusionné avec les paysages infernaux industriels du capitalisme tardif pour devenir quelque chose d’entièrement nouveau.
C’est le diable du bord de la route qui vous offre des cadeaux musicaux en échange de votre âme.
Les sages qui sautent en train et qui résident dans des wagons à charbon, faisant des allers-retours sans fin d’Est en Ouest, du froid mordant des montagnes à la chaleur torride du désert.
L’image de la vaste autoroute vivante, du serpent concret qui, à la fois, représente l’image d’une nature infinie et invincible et des tentatives de l’humanité pour la contrôler, apportant ordre et destruction au chaos primordial qui était autrefois.
« Necrophiliac Blues » dépeint un vagabond mystérieux, un guitariste errant, attire une femme avec son charme trouble.
Malgré son apparence froide et ses yeux morts, elle se laisse séduire par ses mains affamées.
Une histoire sombre et mélancolique d’une nuit de solitude.
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