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Chronique de la chanson française épisode 20, la francophonie ne s’est jamais aussi bien portée

Un mois d’octobre exceptionnel, avec un record de morceaux reçus de la part d’artistes du monde entier se consacrant à la chanson française.
Inutile de préciser que le choix a été dur, et que suivant l’humeur des jours, nous avons parfois été plus sévère avec certains, mais ce qui est sûr, c’est que chacun des titres sélectionné à sa place dans cette rubrique.
Nous espérons que vous allez vous régaler avec ce potpourri réunissant des styles très différents, mais ayant tous à cœur de servir au mieux la langue française.

A écouter sur nos playlists !

Manukeen : “Bloqué dans ma Tête”

Manukeen est un Artiste Auteur, Compositeur, Interprète, Réalisateur et Producteur originaire du Nord de la France.
Il puise ses inspirations à travers des styles comme la Pop l’Électro le Rock ou l’Urbain, et propose une musique singulière qui lui ressemble.
C’est pour encadrer la production de tous ses projets artistiques que Manukeen a créé en 2015 le label associatif indépendant W2A Productions.
Extrait de l’album « Excessif », « Bloqué dans ma Tête » s’adresse à toutes celles et ceux qui sont enfermés avec la peur mais qui se battent chaque jour pour la dépasser et avancer.

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Louis Victor : “Dolce Vita”

Artiste lillois aux textes romantiques teintés d’ironie, Louis Victor s’affirme aujourd’hui dans son projet solo.
Aussi à l’aise à la guitare que derrière ses claviers, il nous délivre une pop haletante.
Louis a eu envie de raconter un weekend Rome Antique à sa façon, ici pas de Vespa, pas de Lucio Battisti, pas de chef d’œuvres, pas de gastronomie.
Un romantisme rempli de candeur et de sarcasme à peine assumé, pour crier fort que quand on est amoureux, qu’on soit à Maubeuge, Rome ou Beauvais, c’est pareil et que la vie douce est là où l’on vie l’insouciance d’un amour naissant.
Pour mettre en image cet écrin résolument pop, il a délaissé Fellini et choisi des plans bruts et simples, baveux, sincères et pleins d’humour.
Rome, deux êtres en amour sincère excités à l’idée d’embrasser la ville de la Dolce Vita se pavanent entre les ruines antiques, les pigeons chats et chiens errants, les pizzas catastro-fromaggi et les pichets de vin rouge coupés à l’eau à deux euros cinquante.
L’arrangement puise ses racines dans des vagues de synthés analogiques, une basse et une batterie électrisés par des voix en chœur qui scandent cet amour qui sent bon le limoncello, la burrata et le vin rouge plus que douteux.

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Besac-Arthur : “Au bout des doigts”

« Globe-Singer » belge et Indiana Jones de la chanson, il écrit ses morceaux comme il met les mains dans la terre.
Certains cherchent l’or au fond des puits, lui le cherche au cœur de l’humain.
A 18 ans, Besac-Arthur découvre une vieille guitare ayant appartenu à son père arménien.
Avec le son des cordes, la voix sort presque d’instinct et un mois plus tard, il met ses textes en musique.
Cinq ans après, un diplôme de journalisme sous le bras, il part sur les routes d’Espagne pendant 6 mois, vit de différents boulots dont musicien de rue, avant de revenir convaincu de l’importance de la musique dans sa vie.
Après différents projets, orchestres, groupe de rock, … il trouve son nom Besac-Arthur en 2009 sous l’inspiration de son poète favori, Arthur Rimbaud et de Bob Dylan qui avait trouvé son nom de la même manière grâce au poète Dylan Thomas.
Ses musiques allient la légèreté, l’espoir d’un monde nouveau, la profondeur des accords folk, sur des sonorités d’Afrique de l’Ouest.

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Mim’s kay : “Poupée (Je ne suis pas)”

Mim’s kay, se démarque de suite par sa sincérité artistique, préférant un style naturel et authentique sans concession, jeune chanteuse, elle est déjà un personnage.
Dès la première écoute « Poupée (Je ne suis pas) » surprend par sa simplicité.
Le morceau se caractérise par une mélodie pop accrocheuse dans une ambiance pop vintage assumée plutôt éloignée des standards actuels, le truc que l’on attend pas et qui marque sa différence.
Avec ses paroles que l’on retient de suite et un texte accentuant l’importance d’être soi-même et de briller de sa propre lumière, ce titre reste dans les neurones, celles qui servent à fredonner et qui font du bien.

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Balto Parranda : “Black Bloc Romance”

Balto Parranda est un groupe parisien composé de Léo Levasseur, Thomas Marchandiau, Julien Dubois du Bellay, Cyril Nasser, Nicolas Almosni, Pierre Dubois d’Enghien, qui fait aussi appel à des musiciens invités surtout pour compléter sa section de cuivres.
Un groupe engagé avec des paroles au vitriol et humour au second degré, qui s’accompagne d’arrangements sophistiqués et entrainants.
« Black Bloc Romance, » est extrait de l’EP du même nom, qui fait suite à « Suburban Java » et à l’album « Turbo Rakia ».

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Mandarina : “Le soleil ne se couche plus (Edit)”

Mandarina est un projet né de la rencontre improbable de deux individus queer, chacun né aux antipodes l’un de l’autre, Paola d’origine Colombienne, passionnée de théâtre et d’ésotérisme, et Michael, un producteur de musique électronique qui passe ses journées dans les studios d’enregistrement en tant qu’ingénieur du son et ses nuits entouré de club kids et de drag queens. Paola insuffle au projet théâtralité, mysticisme et chaleur latine tandis que Michael apporte sa touche rock, ses rythmes synthétiques et son dandysme français. « Le soleil ne se couche plus » parvient à être à la fois rétro et futuriste, un parfait exemple du mélange des influences Kraftwerkiennes et New Wave de Michael (qui a écrit et composé cette chanson) et des éléments latins chaleureux et théâtraux que Paola insuffle au duo. C’est le single phare de l’EP du même titre explorant le côté le plus sombre de leur pop tropicale, sorti aujourd’hui, le 27 octobre 2023.

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Pierre O : Puisqu’on s’aime”

Pierre O, auteur-compositeur-interprète français, est un artiste dont la musique allie élégance et subtilité.
Son style est empreint d’une touche de naïveté qui lui est propre.
Originaire de Bretagne, il a trouvé sa place sur la scène musicale parisienne.
« Puisqu’on s’aime »est un titre pop français avec des influences et sonorités africaines.
La chanson parle de relations amoureuses en déclin et de la nécessité de voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide.
C’est est le premier single d’un EP à paraître en fin d’année.

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Rodrigue : “Rienphobe”

Rodrigue a démarré sur la scène Lilloise, et offre de la pop française qui flirte insolemment avec le rock, l’électro, la chanson parfois libertaire et insouciante, parfois sombre et engagée.
Le droit à la différence, le respect d’être multiple, paradoxal, contradictoire; c’est un thème qui hante profondément, depuis le début, les créations de Rodrigue, un lien unissant tous ses albums et qu’il ne peut porter autrement que comme étendard.
« Rienphobe », est un titre sur l’amour universel, la beauté de la différence, le refus de l’invisibilisation et des cases, l’empathie pour l’âme humaine même dans sa noirceur, le pardon aussi.

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Velt & Being Anne : “Comme des Roses”

Velt est un compositeur, producteur et pianiste basé à Hambourg. Il a grandi dans et autour des orchestres, de l’opéra et du théâtre, absorbant dès son plus jeune âge l’amour de la musique grâce à sa mère, chef d’orchestre de formation et professeur de musique, et son père, accordéoniste professionnel.
Après avoir abandonné sa formation classique, il s’est lancé dans la production musicale à l’université, passant du temps en studio à créer de la musique électronique.
Il s’est associé à Being Anne, une auteure-compositrice-interprète qui vit actuellement à Hambourg, mais aussi en France, à Londres et à New York
Velt a prévu de sortir un album en novembre, « Unna », et Anne un EP l’année prochaine.

Velt : Instagram / Being Anne : Instagram

Florentin Nogara : “Confiture de fraises”

Batteur ou bassiste suivant les formations, Florentin Nogara commence la musique en groupe.
S’essayant parallèlement à l’écriture de chansons en français, il sort un premier EP auto-produit en 2012, puis un second en 2018.
Deux ans plus tard, il présente « Post idéoclub », son premier album. Enregistré et mixé dans une chambre minuscule, il se compose de 12 titres pop, aux arrangements bruts et dépouillés. De nombreux clips vidéos artisanaux viendront illustrer les chansons de ce disque, entièrement réalisés et montés par Florentin.
Toujours dans la même veine, il publie aujourd’hui « Inventaire », son deuxième album, également enregistré seul en totale autoproduction 15 titres d’où est extrait « Confiture de fraises », une chanson succulente d’humour et de bons mots.

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Lô Trêzou : “La nuit j’angoisse”

Lô Trêzou est une chanteuse à l’univers pop pétillant décalé et sensible.
Franco-belge d’origine martiniquaise elle commence sa carrière comme comédienne sous son nom Laurence Briand.
Auteur interprète, solaire, sensible et pétillante, elle nous plonge dans un univers musical pop aux accents world, qu’elle la qualifie de « pop aquatique ».
Profondément marquée Barbara, Reggiani ou Brel, elle accorde une grande importance aux mots qu’elle défend avec passion, raison pour laquelle elle chante en français.
« La nuit j’angoisse » est un titre dansant et ensoleillé qui parle d’insomnie et d’angoisses nocturnes.

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Marilou : “Comment oublier”

Marilou est une auteure compositrice interprète française de 20 ans originaire de Paris mais vivant à Montréal, qui écrit des chansons en français et en anglais.
Son univers touche à la pop et à la variété française, et elle s’accompagne au piano et à la guitare.
« Comment oublier » est un morceau pop, de variété française dont les influences majeures se situent entre Angèle, Christine et la Reine et Juliette Armanet.

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Le Did : “Ce sera déjà ça”

Avec Le Did, la frontière est si fine entre la pop l’électro et le rock.
Les textes sont résolument intimistes et témoignent des étapes d’une vie d’homme.
Les visuels (clips vidéo, illustrations, pochettes, livrets) créés par Jean-Luc Michon sont à l’unisson de la musique résolument inscrits dans une démarche de fusion avec l’intelligence artificielle (la vidéo a été créée avec Midjourney).
Ils amènent la poésie et ouvrent sur une nouvelle ère.
« Ce sera déjà ça » se veut un hommage à ces femmes victimes de violence…
Il est extrait de l’EP « Comme tu es belle », une déclaration d’amour d’un homme à une femme après plusieurs années de vie commune.

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Alba : “Clair”

Alba est auteure, compositrice, interprète et réalise les visuels de ses sorties; elle est également productrice, sound-designeuse, artiste-peintre.
Musicalement, cette artiste parisienne évolue dans la nouvelle scène indie pop, de la chanson Française et de la variété.
Avec ses basses soutenues et son rythme cumbia, le morceau « Clair » accompagne le quotidien de la dépression et d’une vie sous médicaments.

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Chloé Guerin : “Instisfaite”

Chloé Guerin est une princesse révoltée, tout droit sortie d’un conte Disney.
Auteure-compositrice-interprète, comédienne et actrice de doublage, basée à Avignon, elle nait à Saint-Maur-des-Fossé en région parisienne, bercée par les dessins animés Walt Disney.
Chloé commence sa carrière dans le doublage de voix, la voix off et le chant de comptines pour enfants en 2019, avant de sortir cette année son premier album de 12 titres, « Encre d’âme », dont est extraite la chanson « Insatisfaite ».
Elle s’inscrit incontestablement dans une pop française assumée, teintée de rock des années 2000.
Ce titre qui explore avec passion et émotion les tumultes d’une jeunesse en quête d’identité, à travers un univers féérique et captivant.
Sur une note d’humour et d’ironie, les rêves déchirés et les espoirs étouffés s’entremêlent à la voix épique de Chloé.

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ArchiPol : “Qu’il était beau le naturel”

Avec ses airs d’éternel adolescent et son costume en toile de Jouy, ArchiPol détonne un peu dans le macrocosme de la chanson française.
Pour lui, chaque chanson se visite comme une île avec sa faune, sa végétation, son atmosphère.
C’est ainsi qu’il écrit et compose des morceaux où il dissèque le genre humain avec tendresse, mordant et dérision.
De ses années passées au Royal College of Music de Londres, il a gardé – outre la technique vocale – le flegme, l’élégance et une certaine forme d’humour british et pince-sans-rire.
C’est pourtant bien la chanson française qui l’a influencé et chacun de ses titres raconte son attachement à proposer une musique intemporelle et peu formatée. A l’écouter, on pense à Boris Vian, à Dutronc, à Souchon pour l’écriture, à Thomas Fersen, Boogaerts ou Nicolas Jules pour la folie douce.
« Qu’il était beau le naturel » est extrait de son album « Au naturel », qui a été enregistré entièrement sur bande magnétique, à contre-courant de notre époque du “tout-digital”.
Ce qui frappe chez ArchiPol, c’est sa capacité à aborder les sujets sombres, et même parfois tragiques, sur des rythmiques presque dansantes.
C’est une écriture au cordeau qui observe nos failles devenir des abysses.
Long story short, une chanson française cuisinée à la sauce aigre-douce.

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Jessie Amseli : “Sans Toi”

Issue d’une famille de musiciens, Jessie Amseli baigne dans la musique depuis l’enfance et n’hésite pas à prendre le micro dès son plus jeune âge.
Elle trouve ses influences dans l’univers de Whitney Houston, Céline Dion, Beyoncé et Brian McKnight.
Découverte dans Popstars sur M6 et réitérant sur NRJ12 dans Encore une chance, elle prête également sa voix pour plusieurs génériques TV et voix additionnelles et pour la série animée Starbeam sur Netflix.
Après plusieurs années d’attente, elle choisit de présenter enfin à son public, « Sans Toi » un titre co-écrit et co-composé avec Otta, artiste révélé par The Voice.
Sonorités Pop et influences 80’s, ce titre donne le ton de cet EP en cours de préparation.

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Artemisia : “Mon ange”

Artemisia, jeune artiste multi-casquettes et notamment chanteuse est une artiste musicale depuis son plus jeune âge : elle s’initie à la chanson à seulement 13 ans et fait ses premières scènes a l’âge de 15 ans puis produit, met en scène, écrit et dirige artistiquement ses propres vidéos de cover (VHS) ou elle commence à imposer son identité musicale et de chanteuse a sa communauté.
Un univers musical bien à elle, influencé par les années 80.
Ce projet devient alors un véritable rendez-vous pour ses abonnés.
Suite au succès de ses vidéos VHS, elle enregistre « Bête et Méchant » composée par les talentueux Madame Monsieur.
« Mon ange » sort un an plus tard, sur un ton joyeux de french-pop.

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L’éphémère : “Y A Pas Le Temps”

L’éphémère est formé par deux âmes créatives, Elise Nunes et Steve Richer, qui partagent une passion profonde pour la musique.
Cette dernière a fini par les unir sur scène et dans la vie.
Originaires du Luxembourg, leur histoire commune remonte à l’époque où ils se sont rencontrés par le plus grand des hasards…
Elise Nunes, à la voix envoûtante et aux talents d’écriture poétique, apporte une touche d’émotion pure à chaque mélodie.
Sa voix douce et éthérée est associée à une sincérité touchante.
Par moment, elle monte en intensité avec une force inattendue.
Sa voix peut passer de la délicatesse d’une caresse à l’ampleur d’un déluge.
Steve Richer contrebalance à la guitare avec retenue et bienveillance chaleureuse les atmosphères glacées et diaphanes.
Il tisse un fil mélodique qui s’entrelace délicatement avec la voix, créant ainsi une harmonie captivante.
L’éphémère incarne la mélancolie et évoque des thèmes sombres, des rêveries intimes et une profonde introspection.
Ils aiment explorer les profondeurs de l’âme à travers leur musique et il en émane un flot d’émotions mêlées de désolation et d’espoir.
Ils prouvent que la beauté peut même résider dans l’obscurité et que la musique est un moyen de la découvrir.
Le duo L’éphémère travaillent ardemment sur un premier EP, qui promet d’être un voyage captivant.
Leur premier single « Y A Pas Le Temps » offre un avant-goût de ce qui attend les auditeurs.

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Opalle :”Cartouche”

Opalle, de son vrai nom Clémence Ledoux, est une chanteuse et auteure-compositrice de 23 ans originaire de Lille, elle a déménagé à Paris pour suivre une formation aux Cours Florent.
Depuis 2020, elle travaille sur sa musique, mélangeant pop électro française et touches de synth wave des années 80.
Femme forte et douce à la fois, Opalle utilise la musique pour transcender ses émotions.
Artiste authentique et engagée, elle vous propose son univers et sa vision du monde en passant par des thèmes qui la touchent comme la reconstruction et l’introspection.
Entre nostalgie et sincérité, ses textes sont des outils de guérison. Ils portent des messages d’espoir sur des mélodies rythmées.
Dans un monde qui s’effondre, rempli d’incompréhensions et de terreur, la création de « cartouche » a été pour elle une réelle échappatoire.
C’est autour de ce sentiment universel qu’est la peur, que l’artiste a construit ce premier single.
Opalle nous amène son style pop-électro propre à elle et qui nous apporte de la légèreté malgré la force du texte.
Opalle prévoit de sortir son premier EP de 6 titres début 2024.

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Vik Kizzy : « Chek Au Roi »

À 25 ans, véritable Dorian Gray moderne, Vik Kizzy qualifie son style musical de « Dark Pop.
Avec une voix hors du commun, il navigue entre espoir et fatalité, lumière et ténèbres.
S’il incarne si bien cette dualité, c’est parce qu’il puise son inspiration au sein de l’univers psychiatrique et carcéral, qu’il connaît bien.
Mais c’est aussi dans le cinéma de genre qu’a baigné l’artiste depuis petit.
Cette influence placée au cœur de son art l’invite à considérer la musique et l’image comme indissociables.
Nourri par des artistes comme Stanley Kubrick, David Bowie, Tim Burton, John Carpenter, Karl Lagerfeld, ou Mylène Farmer, Vik Kizzy distille une pop acidulée, soutenue par un timbre d’une puissante fragilité.
La mélodie et la voix sont deux piliers centraux du processus créatif de Vik.
Dans la continuité de son titre “Jouons”, voici « Chek Au Roi » dont l’instrumentalité joyeuse nous embarque dans une ambiance dansante et colorée.
Car la pop de Vik Kizzy est aussi dark qu’acidulée.
Sa voix envoûtante vous invite au lâcher prise.
Inspirés par Eddy de Pretto ou Mika, ses thèmes sombres sont toujours abordés de façon pétillante au sein d’un univers visuel très marqué.
« Chek Au Roi » est le tout dernier single de Vik Kizzy, première partie d’un court-métrage dont on attend la suite avec impatience.
Entre fiction et réalité, on découvre un artiste sensible à la voix puissante et à l’univers cinématographique incomparable.
Son œuvre fait vivre son personnage sur plusieurs chapitres d’un livre aux nombreux mystères.

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Rina DG “étincelle”

La pianiste franco-italo-argentine Marina Di Giorno alias RINA DG embrasse avec un égal appétit toutes les musiques, les formations et les causes que son piano lui permet de servir, avec une idée en tête : rendre la musique classique accessible à tous et s’épanouir comme autrice, compositrice et interprète de musiques actuelles. Elle aime par-dessus tout croiser les arts et mène une double carrière classique et dans la Pop, Rock, Variété…
Artiste aux mille facettes, elle souffle un vent de fraicheur et de glamour dans le monde feutré et codifié de la musique classique, exigeante dans sa recherche musicale qui sort des sentiers battus.
Pour son premier album, elle s’est produite sous le pseudo du titre éponyme du disque, « Miss M’Harley ».

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Baïki : “Les boites”

Baïki est un groupe belge basé à Mellet, composé de Phil, MarcDo, Hugues et bROCKy qui font aussi partie du groupe Les Slaches.
Baïki (bajki), en polonais, ça veut dire « des histoires ». Ne soyez pas dupes mais laissez-vous quand même porter…
Pour vous embrouiller, Baïki sautera volontiers d’une langue à l’autre au gré de ses compositions rock mais pas seulement rock. Par moment, on pourrait même y déceler une pointe de punk ou de folk.
Pourtant les textes renvoient bien à des situations qu’on jurerait sorties de la réalité. Mais ce ne peut pas être possible. Ce serait trop cru, trop frontal…
Groupe indé engagé partie prenante de la scène underground, les paroles de Baïki sont comme des rasoirs.

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